Après ce long tunnel mouvementé de 2020, avec ces moments de joie (la création de Mouvite par exemple 😉) et ses peines (décès, couvre-feux, confinements,…), nous sommes heureux d’accueillir 2021. Une année qui s’annonce (nous l’espérons en tous cas) une grande année : celle de l’émergence de nouveaux projet sociaux, sociétaux et environnementaux ; celle de notre lancement ?
Bonne année !
C’est en substance l’essentiel de notre message. Que malgré les difficultés et les contraintes, il y ait toujours l’émergence et la mise en place de nouveaux projets, aussi humbles et petits soient-ils. Qu’il puissent être toujours créateur de joies pour soi, son entourage et la société de manière générale; écologiques finalement (dans son sens le plus large et entier) !
Et pourtant
Pas facile, spécialement cette année, de formuler des vœux de succès, de réussite quand tant de projets n’ont pu aboutir ou ont échoué face aux complications créées par la pandémie. L’une des grandes leçons de cette année aura été (selon moi) l’expérience de notre vulnérabilité et de notre résilience. De belles réalisations finalement…
A notre échelle
On se dit parfois qu’on est un peu fous de s’être créés en fin d’année 2020, et d’oser (espérer) se lancer en 2021 (ok c’est peut être que moi 😉). Parfois le doute et la résignationface aux difficultés pourraient pointer leur nez. Mais l’ancrage par ce biais du développement d’un projet d’entrepreneuriat social fait avancer pas à pas.
Nous croyons à notre projet de créer des emplois qui ont du sens : des emplois propres, porteurs d’un projet social, au bénéfice de nos clients et de leurs clients (car les clients de nos clients sont un peu nos clients) mais aussi de l’environnement (que ce soit la pollution en CO2, sonore, ou les embouteillages).
Le marché de la cyclo-logistique, qui plus est du dernier kilomètre, et qui plus est à Paris, est porteur de beaucoup de promesses pour ses acteurs. Il nous confronte également à beaucoup d’enjeux en termes de transformation de la chaine logistique, de l’explosion du e-commerce, et du marché de la livraison urbaine.
Reste (et c’est le plus important) l’humain :
- L’humain dans le développement d’une entreprise d’insertion qui œuvre à créer des emplois pour des personnes qui en sont éloignées,
- l’humain dans le mode de gestion de l’association que nous cherchons à construire,
- l’humain dans la relation clients et dans la mise en place de partenariats,
- l’humain dans la relation client-clientsdenosclients lors de la livraison pour (re)créer du lien social lors des livraisons.
Car c’est cela dont nous nous soucions au fond : (re) créer du lien:
- entre des personnes éloignées de l’emploi et l’emploi,
- dans la constitution de partenariats et,
- dans la relation clients.